Documentaire sur l’autisme
Un documentaire sur l’autisme
Mardi 29 mars, à 21 h sur la 5
Autisme, l’espoir
Un regard inédit sur l’autisme
Un film de 52 minutes écrit et réalisé par Natacha Calestrémé Produit par Thierry Berrod, Mona Lisa Production Natacha Calestrémé Journaliste – Réalisatrice
Certaines personnes ont pu déjà le visionner car une adresse étant donner via Facebook.
Apres cela un site internet verra le jour
http://www.epsilonalecole.com/
Un documentaire qui racontent le parcours d’Aymeric, Rodrigue et Joseph Schovanec.
Aymeric a 3 ans et demi lorsque ses parents apprennent qu'il est atteint d'autisme sévère. Aux dires des professionnels, il n'aurait jamais pu parler et n'aurait jamais dû aller à l'école.
Pour aider leur enfant, Lydie et Marc se sont donc informés à l'étranger et formés aux thérapies comportementales importées des Etats-Unis et du Canada.
Grâce à 8 ans d'archives, ce film suit l'apprentissage insoupçonnable de cet enfant, qui maintenant, parle, écrit, suit une classe de CM1 dans une école ordinaire et fait partager sa joie de vivre.
C'est l'histoire incroyable d'un enfant que l'on pensait perdu et qui donne un espoir à tous les autres...
Ce documentaire nous fait découvrir dans sa globalité l’autisme et nous laisse transparaitre une bonne explication de l’autisme, de ce qu'il faut faire de nos jours et nous donne du baume au cœur même si l’état est en faveur pour des restrictions budgétaires et préfèrent placer nos enfants autistes dans hdj (hôpitaux de jour), que de rémunérer et de former des auxiliaires de vie pour qu’elle puisse avoir un statut comme les atsem dans les écoles maternelles et les enseignants.
Que les différentes approchent comme l’aba soit pris en charge en libéral et que les écoles aba puissent ouvrir mais pour toutes les catégories couches sociales.
De plus nous pouvons lire en Mars 2011 que La secrétaire d'Etat, à fait savoir que l'ABA marche, que les autistes ne doivent pas rejoindre des structures non spécialisées pas d'hôpital psychiatrique et hdj et pas d'IME non spécialisé :
"Mme Marie-Anne Montchamp, secrétaire d’État auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale. Mesdames, messieurs les députés, je m’efforcerai d’apporter des réponses aussi précises que possible à vos questions, que je regrouperai puisque certaines se recoupent.
Martine Carrillon-Couvreur, Jean-Paul Dupré et Daniel Garrigue m’ont interrogé sur la situation des enfants et adultes autistes, et en particulier sur la mise en œuvre des plans autisme. Je voudrais d’abord préciser un point.
Il est vrai que la loi du 11 février 2005 s’est attachée à énumérer les différentes formes que peut revêtir le handicap pour en montrer la diversité : handicap moteur, handicap sensoriel, handicap mental, handicap psychique et handicap cognitif.
S’agissant de l’autisme, il me semble plus approprié de parler de handicap cognitif que de handicap psychique.
C’est en effet la particularité des porteurs du syndrome autistique que d’éprouver des difficultés dans l’interaction, dans la communication, qui affectent parfois considérablement leur capacité à participer pleinement à la vie en commun. Des plans autisme ont été mis en place pour apporter des réponses spécifiques à ces personnes dont la place n’est pas dans les services de psychiatrie –
je veux le dire ici : leur place est bien davantage dans des établissements dédiés à leur accompagnement spécifique.( note J-M: donc pour le handicap cognitif et non mental !)
En France, 300 000 à 500 000 personnes sont atteintes de syndrome autistique.
Le taux de prévalence est de 1 sur 150 naissances. Ce n’est donc pas une affection rare. Le deuxième plan autisme, qui englobe la période 2008-2010, comporte trente mesures orientées selon trois axes : mieux connaître l’autisme pour mieux former les personnels, mieux repérer les autistes pour mieux les accompagner, mieux diversifier les approches dans le respect des droits fondamentaux des personnes.
Voici les chiffres que vous m’avez demandés : 187 millions d’euros, abondés de 10 % par le soutien aux structures innovantes, soit 206 millions d’euros au total, ont été consacrés à ce plan pour la période 2008-2010.( note J-M: on aimerait bien la preuve que cet argent ne va pas aux hôpitaux psychiatriques et structures psys puisqu'il doit aller vers des projets novateurs, notamment ABA et structure utilisant l'aspect cognifif)
Ce sont, monsieur Garrigue, 4 100 places qui ont été créées en cinq ans pour renforcer et diversifier l’offre d’accueil. Au 31 décembre 2009, 2 099 places ont été autorisées – soit 51 % de l’effort – et 1 324 places ont été ouvertes.
Le plan s’accompagne de projets expérimentaux, au nombre de vingt-trois. En ce domaine, la connaissance avance, et il nous faut questionner en permanence la qualité des réponses que nous apportons aux personnes atteintes de syndrome autistique.
Trois dispositifs d’accompagnement à l’annonce du diagnostic – moment particulièrement difficile – ont été mis en œuvre à Tours, à Paris et à Strasbourg.
Les équipes de diagnostic ont vu leurs moyens renforcés, grâce à une dotation de crédits sanitaires de 5,6 millions d’euros pour la période 2009-2011.
Enfin, 16,8 millions d’euros ont été mobilisés en 2009 pour le fonctionnement des centres de ressources autisme et des équipes hospitalières associées, et 2 millions d’euros supplémentaires ont renforcé en 2010 les centres de ressources autisme les moins bien dotés.
C’est donc un effort global, qui porte non seulement sur le nombre de place offertes mais également sur la qualité et les capacités d’innovation pour l’accompagnement des personnes atteintes d’autisme. Le plan Autisme 2008-2010 témoigne d’un fort volontarisme qui s’appuie sur une meilleure compréhension de ce qu’est l’autisme et se traduit par un engagement financier massif et cohérent.
J’ajoute que le Gouvernement veille à n’avoir en la matière aucune exclusive. Je veux en particulier évoquer à cette tribune les méthodes comportementalistes, telle la méthode ABA, pour Applied Behavior Analysis, qui permet de véritables progrès et une meilleure inclusion sociale des enfants, que ce soit au sein des familles ou dans les établissements.
Le bilan du plan de création de places en établissements et services pour enfants et adultes est assez satisfaisant, même si nous sommes conscients que les efforts doivent être poursuivis."
Alors
TOUS ENSEMBLE POUR UNE MEME CAUSE L AUTISME